Peintre, portraitiste et sculpteur, dès 1968 elle est remarquée par la critique. Journalistes, historiens d’art et personnalités témoignent de la liberté d’un langage pictural qui passe par la modernité d’un regard ; de cette faculté à explorer le caractère d’un visage comme l’au-delà d’un paysage qui « pressent le non palpable avec une gravité qui tend vers l’absolu », comme l’a si bien écrit François Perche dans La Revue d’Art Moderne.
Née à Paris le 19 Février 1928, Britt Le Bret suit les cours de l’Ecole du Louvre et de l’Ecole des Arts Décoratifs, rue Beethoven, à Paris. Elle travaille le modèle vivant à l’Académie Julian et à la Grande Chaumière, à Montparnasse, sous la direction du peintre Gérôme.
Diplômée de l’Ecole du Louvre, elle est assistante des expositions temporaires du Musée Carnavalet. Des années 1960 à 2000, elle expose dans les grands salons de Peinture et galeries prestigieuses à Paris : Galerie Bernheim, Salon d’Automne, au Grand Palais, Salon des Artistes Français, Salon de la Nationale des Beaux Arts, Arts et Métiers, Salon des Beaux-Arts de la Société Nationale d’Horticulture et Salons d’Art PlastiquesNNationauxnetnInternationaux.
Lauréate de Grands Prix, le titre de « Maître Pastelliste » lui est décerné en 2003 par la Société Nationale des Pastellistes de France.
« En reconnaissance de son talent personnel et de sa maîtrise technique qui font honneur à l’art du pastel ».
Sociétaire des Artistes Indépendants, membre de la Maison des Artistes, de l’Union des Femmes Peintres et Sculpteurs, de l’Association Internationale MENSA, l’Association Bretonne, du Liger-Club de La Baule, de la Société Nationale des Pastellistes de France et de la Fondation Taylor.